questionsgateaux
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beskriv vad en madeleinekaka är C’est un classique de la pâtisserie française. Un
gâteau traditionnel aux œufs, en forme de coquillage. |
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varför heter den madeleinekaka ? Cette pâtisserie s’appelle ainsi parce qu’elle a été réalisée
par la paysanne Madeleine et baptisée ainsi en 1755 par le roi Stanislas. Madeleine
offrait ce succulent dessert aux voyageurs du
pèlerinage vers Saint-Jacques-de-Compostelle. C’est le roi
Stanislas qui a lancé la mode à Versailles puis à Paris, par sa fille Marie,
épouse de Louis XV. |
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hur är madeleinekakans
utseende? förklara också varför Le gâteau a la forme d’un coquillage qui est l’emblème du
pèlerinage vers Saint-Jacques-de-Compostelle. Les gens s’arrêtaient et
mangeaient ce petit gâteau en chemin vers Saint-Jacques-de-Compostelle |
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varifrån kommer madeleinekakan ? Ce gâteau est originaire de la
ville de Commercy en Lorraine. |
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vad heter Napoleonbakelsen i
Frankrike? il s’appelle le Mille-feuilles en France |
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beskriv hur en Napoleonbakelse
är gjord c’est une pièce de pâtisserie faite de trois couches de
pâte feuilletée et deux couches de crème pâtissière. Le dessus est glacé avec
du sucre glace ou du fondant. On peut y ajouter de la confiture ou des
fruits. |
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vem
var Carême ? c’est un célèbre pâtissier, présenté comme
"le roi des chefs et le chef des rois" au XIXe siècle |
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vilka 3 teorier finns till Napoleonbakelsens
ursprung? L’origine de cette pâtisserie est incertaine. Il aurait été créé par François Pierre de La Varenne qui
le décrit dans son Cuisinier françois en 1651. Il
aurait ensuite été perfectionné par Marie-Antoine Carême, cuisinier de
Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord. Mais beaucoup de pâtissiers professionnels prétendent que
ce gâteau a été inventé par le célèbre pâtissier Adolphe Seugnot,
Ou est-ce que que ce serait un gâteau ramené de l’Orient
par les croisés ? |
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vem uppfann Opérabakelsen och
vilket år? L’Opéra a été inventé par le pâtissier parisien Cyriaque Gavillon qui travaillait pour la maison Dalloyau, en 1955 |
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varför heter den Opérabakelse ? Selon les sources, il
aurait été nommé ainsi par Andrée Gavillon,
l'épouse du pâtissier, soit à cause de sa similarité avec la scène de l'Opéra
Garnier , soit en hommage aux danseuses de
l'Opéra qui venaient à la boutique. |
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vad innehåller en Opérabakelse ? il contient une succession de biscuits imbibés d’un sirop
au café, de ganache, de crème au beurre aromatisée au café, le tout recouvert
d'un glaçage au chocolat. |
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hur ser Paris-Brestbakelsen ut? Le Paris-Brest a la forme d’une roue de
bicyclette |
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varför heter den Paris-Brest? Le Paris-Brest, qui porte ce nom depuis 1891, a
été inventé par un pâtissier qui, jadis, tenait boutique sur le parcours de
la fameuse course cycliste Paris-Brest. |
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vad är en Paris-Brestbakelse? c’est un gâteau élaboré à base de pâte à chou,
en forme de roue, troué au milieu et fourré à la crème pralinée. |
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beskriv hur en ”blixt” ser ut un
éclair est une pâtisserie d'origine française, constitué de pâte à choux
allongée et fourrée de crème pâtissière, avec un glaçage sur le dessus. |
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vad hette detta bakverk
tidigare? il
s’appelait autrefois pain à la duchesse (avant 1850) ou petite duchesse |
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varför namnet ”blixt”? on
l’a appelé « éclair » parce qu’il était tellement bon qu’on le
mangeait rapidement |
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vem uppfann ”blixten”? il a été créé par le célèbre
pâtissier Marie-Antoine Carême, présenté comme "le roi des chefs et
le chef des rois" au XIXe siècle |
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vad är en ”Jacobs stång”? le
dessus d’un éclair est glacé au caramel on appelle ce gâteau un « bâton de
Jacob » |
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vad är en ”blixt” gjord av? il
est constitué de pâte à choux allongée et fourrée de crème pâtissière, avec
un glaçage sur le dessus. |
Anciennement
appelé pain à la duchesse (avant 1850) ou petite duchesse ,
un éclair est une pâtisserie d'origine française, constitué de pâte à choux
allongée et fourrée de crème pâtissière, avec un glaçage sur le dessus. Chocolat, café, vanille : les parfums phares d'un
délice onctueux créé par le célèbre pâtissier Marie-Antoine Carême,
présenté comme "le roi des chefs et le chef des rois" au XIXe siècle
Cependant, il
existe aussi des versions faites à base de petit four, et l'intérieur peut être
de la crème chiboust, de la crème chantilly, crème de marrons, ou un salpicon
de fruits.
La crème est généralement au chocolat ou au café mais peut aussi être
aromatisée à la pistache ou à la vanille. Des variantes peuvent également
parfumer la crème pâtissière et le fondant avec divers fruits.
Le dessus est glacé au fondant ou au caramel ; dans ce dernier cas, on appelle
ce gâteau un « bâton de Jacob ».D'après le
Dictionnaire de l'académie française, l'éclair a été nommé ainsi car il était
mangé rapidement
La madeleine :
La madeleine
n’est pas seulement le nom d'une superbe église du centre de Paris !
C’est aussi un classique de la pâtisserie française. Un gâteau traditionnel aux
œufs, en forme de coquillage et originaire de la ville de
Commercy en Lorraine.
Cette pâtisserie réalisée par une paysanne nommée Madeleine a
été baptisée ainsi en 1755 par le roi Stanislas qui a lancé la mode à
Versailles puis à Paris, par sa fille Marie, épouse de Louis XV.
Au Moyen Âge, on fabriquait déjà des petits gâteaux
aux œufs moulés dans des coquilles Saint-Jacques, l’emblème du pèlerinage vers
Saint-Jacques-de-Compostelle.
Son objectif ? Nourrir les pèlerins en chemin vers
Compostelle. Et Madeleine aurait été celle qui offrait aux voyageurs ce
succulent dessert. Depuis, Marcel Proust a immortalisé cette douceur, qui
évoque désormais la nostalgie, en référence à son chef d'oeuvre
"A la recherche du temps perdu".
Le mille-feuille :
Un mille-feuille ou millefeuille est une pièce de pâtisserie faite de trois
couches de pâte feuilletée et deux couches de crème pâtissière. Le dessus est
glacé avec du sucre glace ou du fondant. On peut y ajouter de la confiture ou
des fruits.
L’origine de cette pâtisserie est incertaine. Il
aurait été créé par François Pierre de La Varenne qui le
décrit dans son Cuisinier françois en 1651. Il aurait
ensuite été perfectionné par Marie-Antoine Carême, cuisinier de
Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord.Cependant,
beaucoup de pâtissiers professionnels ne le font remonter qu'en 1867, où il fut
proposé comme spécialité du célèbre pâtissier d'alors Adolphe Seugnot, alors installé 28, rue du Bac à Paris. Ou est-ce
que que ce serait un gâteau ramené de l’Orient par les croisés ?
Quoi qu'il en soit,
ce dessert, très craquant, constitue un véritable symbole de la pâtisserie
française en dehors des frontières où il se fait parfois appeler Napoléon.
L'Opéra :
Voilà un grand
classique de la pâtisserie française ! L’Opéra fait chanter vos papilles grâce
à une succession de biscuits imbibés d’un sirop au café, de ganache, de crème
au beurre aromatisée au café, le tout recouvert d'un glaçage au chocolat.
L’Opéra est né de la
volonté d’alléger la pâtisserie française : le pâtissier parisien Cyriaque Gavillon qui travaillait pour la maison Dalloyau, a conçu en 1955 un gâteau avec une faible teneur
en sucre, sans alcool et arborant une forme rectangulaire pour un résultat
avant-gardiste. Selon les sources, il aurait été nommé ainsi par Andrée Gavillon, l'épouse du pâtissier, soit à cause de sa
similarité avec la scène de l'Opéra Garnier ,
soit en hommage aux danseuses de l'Opéra qui venaient à la boutique.
Le Paris-Brest :
Le Paris-Brest et la bicyclette ont un point commun.
Voici un gâteau élaboré à base de pâte à chou, en forme de roue, troué au
milieu et fourré à la crème pralinée.
Le Paris-Brest, qui porte ce nom depuis 1891, a été
inventé par un pâtissier qui, jadis, tenait boutique sur le parcours de la
fameuse course cycliste Paris-Brest.