____________________________, nous avons des cœurs siamois
Et chaque coup que tu reçois
Ricoche et me frappe deux fois
Je tiens dans ma main ton poing serré
Et _________________ ne peut nous résister
Puisque nous l'avons décidé
Personne n'a jamais dit que ce serait ______________________
Mais je serai là
Personne ne croit en toi comme j'y crois
______________________________________________________
Je serai là même s'il ne devait rester
Personne, personne
Personne ne croit en toi comme j'y crois
Personne, personne
Je serai là même s'il ne devait rester
Personne, personne
C'est comme si une chaîne avait relié
Invisiblement nos poignets
Le ______________ où nous sommes nées
Alors si tu coules, je coule ______________________
Et je tiens bien trop à la vie
Pour que ce puisse être permis
Personne n'a ________________________ dit que ce serait facile
Mais je serai là
Personne ne croit en toi comme j'y crois
Personne, personne
Je serai là même s'il ne devait rester
Personne, personne
Personne ne croit en toi comme j'y crois
Personne, personne
Je serai là même s'il ne devait rester
Personne, personne
_______________________________ seule, qu'est-ce que tu crois?
Tu peux te reposer sur moi
****** seule écoute-moi
Tu peux te reposer sur moi (ça ira)
******* seule, qu'est-ce que tu crois? (Je serai là)
Tu peux te reposer sur moi (ça ira)
******** seule écoute-moi (qu'est-ce que tu crois?)
Tu peux te reposer sur moi (ça ira)
Personne ne
croit en toi comme j'y crois
Personne, personne (je serai là)
Je serai là même s'il ne devait rester
Personne, personne (ça ira)
Personne ne croit en toi comme j'y crois
Personne, personne (je serai là)
Je serai là même s'il ne devait rester
Personne, personne
Hé toi
Qu'est-ce que tu ______________________________?
T'as jamais vu une ____________________ qui se bat
Suis-moi
Dans la ville blafarde
Et je te montrerai
Comme je mords, comme j'aboie
Prends garde
Sous mon sein, la grenade
Sous mon sein, là, regarde
Sous mon sein, la grenade
Prends garde
Sous mon sein, la grenade
Sous mon sein, là, regarde
Sous mon sein, la grenade
Hé toi
Mais ______________________________ tu crois?
Je ne suis qu'un _______________________________
Déguisé en madone
Hé toi
Je pourrais te faire _____________________
Je pourrais te blesser, oui
Dans la nuit qui frissonne
Prends garde
Sous mon sein, la grenade
Sous mon sein, là, regarde
Sous mon sein, la grenade
Prends garde
Sous mon sein, la grenade
Sous mon sein, là, regarde
Sous mon sein, la grenade
Hé toi
Qu'est-ce que tu t'imagines?
__________________________________ vorace
Aussi vivante que toi
Sais-tu
Que là sous ma poitrine
Une rage sommeille (une rage sommeille)
Que tu ne soupçonnes pas?
Prends garde
Sous mon sein, la grenade
Sous mon sein, là, regarde
Sous mon sein, la grenade
Prends garde
Sous mon sein, la grenade
Sous mon sein, là, regarde
Sous mon sein, la grenade
Prends garde
Je vais fermer
Les paupières comme on ferme un ______________________________
_____________________________________
J'espère que vous aurez ________________ mon ___________________ numéro
Au revoir, je disparais en héros
De mon propre show
Tant que les spots sont encore ________________________
Je vais m'éteindre
Un peu comme on éteint la lumière
Après _______________________________________
Écrasant les __________________________________
Et les débris de verre
Au revoir,
Je disparais en héros
De mon propre show
Tant que les spots sont encore chauds
Et faudra pas ___________________________ après
Quand j'aurai tout ______________________
Qu'enfin je me tairai
Et faudra pas pleurer après
Quand j'aurai tout *********
Qu'enfin je me tairai
Dis-le-moi
Dis-le que tu ne m'oublieras pas
Dis-le-moi
Quand j'aurai chanté mes chansons
Jusqu'au bout de ma voix
Au revoir
Je referai l'Olympia
Au zénith les yeux fermés
Toute l'éternité
Et faudra pas
pleurer après
Quand j'aurai tout chanté
Qu'enfin je me tairai
Et faudra pas pleurer après
Quand j'aurai tout chanté
Qu'enfin je me tairai
Non, faudra pas pleurer après
Quand j'aurai tout chanté
Quand j'aurai tout chanté
Je me tairai
T'es comme un
voile qui s'accroche à tous les clous
Tu t'effiloches, tu t'abimes à tous les coups
Tu t'fais du mal
Souvent, tu t'fais du mal
Tu t'fais du mal
Souvent, tu t'fais du mal
L'amour ne cogne
Que le cœur et ne laisse jamais personne
Te faire croire le contraire
L'amour ne cogne que le cœur
L'amour ne cogne que le cœur
L'amour ne cogne
Que le cœur et ne laisse jamais personne
Te faire croire le contraire
L'amour ne cogne que le cœur
L'amour ne cogne que le cœur
Ta peau est fine
comme du papier à cigarette
Chaque fois qu'on la frappe, il y pousse une violette
On t'fait du mal
J'veux pas qu'on t'fasse du mal
L'amour ne cogne
Que le cœur et ne laisse jamais personne
Te faire croire le contraire
L'amour ne cogne que le cœur
L'amour ne cogne que le cœur
L'amour ne cogne
Que le cœur et ne laisse jamais personne
Te faire croire le contraire
L'amour ne cogne que le cœur
L'amour ne cogne que le cœur
L'amour, l'amour
n'a jamais tué personne
Et les seuls coups que l'amour pardonne
Sont les coups de foudre
L'amour n'a jamais tué personne
Et les seuls coups que l'amour pardonne
Sont les coups de foudre
L'amour ne cogne
que le cœur
L'amour ne cogne que le cœur
L'amour ne cogne
Que le cœur et ne laisse jamais personne
Te faire croire le contraire
L'amour ne cogne que le cœur
L'amour ne cogne que le cœur
L'amour, l'amour
n'a jamais tué personne
Et les seuls coups que l'amour pardonne
Sont les coups de foudre
L'amour n'a jamais tué personne
Et les seuls coups que l'amour pardonne
Sont les coups de foudre
Je ne suis
qu'une imbécile allongée sur le dos
J'me refais le film, le début était beau
Puis, je t'imagine jouer sur ton piano
Une mélodie expire dans un écho
J'ai tout gâché,
je sais
Je sais, j'ai tout gâché
Je ne peux pas
oublier ton cul et le grain de beauté perdu
Sur ton pouce et la peau de ton dos
Le reste, je te le laisse mais je retiens en laisse
Le souvenir ému de ton corps nu
Le reste, je te
le laisse, oh-oh
Le reste, je te le laisse, oh-oh
Le reste, je te le laisse, oh-oh
Le reste, je te le laisse, oh-oh-oh
Je te sens au
loin, chasser mon souvenir
Qui palpite encore, qui va bientôt mourir
Est-ce mon pauvre cœur qui a tout inventé?
Étais-tu ici, m'as-tu au moins aimé?
J'ai tout gâché,
je sais
Je sais, j'ai tout gâché
Le reste, je te
le laisse, oh-oh
Le reste, je te le laisse, oh-oh
Le reste, je te le laisse, oh-oh
Le reste, je te le laisse, oh-oh-oh
Je ne peux pas
oublier ton cul et le grain de beauté perdu
Sur ton pouce et la peau de ton dos
Le reste, je te le laisse mais je retiens en laisse
Le souvenir ému de ton corps nu
Je reste
amoureuse d'une idée qui s'éteint
Figée à jamais dans un miroir sans tain
D'où je te regarde t'en sortir à merveille
Épier ton bonheur me le rend moins cruel
Le reste, je te
le laisse, oh-oh
Le reste, je te le laisse, oh-oh-oh
Le reste, je te le laisse, oh-oh
Le reste, je te le laisse, oh-oh-oh
Le reste, je te
le laisse, oh-oh
Le reste, je te le laisse, oh-oh-oh
Le reste, je te le laisse, oh-oh
Le reste, je te le laisse, oh-oh-oh
Je ne peux pas
oublier ton cul et le grain de beauté perdu
Sur ton pouce et la peau de ton dos
Le reste, je te le laisse mais je retiens en laisse
Le souvenir ému de ton corps nu
Le reste, je te
le laisse, oh-oh
Le reste, je te le laisse, oh-oh-oh
Quelle grossière
erreur
Tomber amoureuse du chanteur
La radio serrée contre le cœur
Sa voix, son oreille
C'est de l'or, c'est du miel
Toutes ses chansons d'amour ont dû, c'est sûr, être écrites pour elle
Elle se voit
accrochée à son bras
Tous les dimanches soir, aller a cinéma
Mais on n'épouse pas plus les chanteurs que les comètes
Les étoiles filantes, les poètes
On n'épouse pas
les chanteurs
C'est vouloir enfermer le vent
C'est épingler un papillon
C'est mettre en cage un lion
On n'épouse pas
les chanteurs
C'est vouloir enfermer le vent
C'est épingler un papillon
C'est mettre en cage un lion
On n'épouse pas
les chanteurs
C'est vouloir enfermer le vent
Ça ne se peut pas vraiment
Erreur d'amateur
Tomber amoureuse du chanteur
Costume bleu pâle, piège à filles rieur
Hier soir à la télé
Elle l'a vu hésiter
"Êtes-vous heureux en amour?" Il a baissé
les yeux, c'est un homme secret
Elle se voit
accrochée à son bras
Tous les dimanches soir, aller au cinéma
On n'épouse pas
les chanteurs
C'est vouloir enfermer le vent
C'est épingler un papillon
C'est mettre en cage un lion
On n'épouse pas
les chanteurs
C'est vouloir enfermer le vent
C'est épingler un papillon
C'est mettre en cage un lion
On n'épouse pas
les chanteurs
C'est vouloir enfermer le vent
Ça ne se peut pas vraiment
On n'épouse pas
plus les chanteurs que les comètes
Les étoiles filantes, les poètes
Pour y croire, il faudrait être bête
À croire que je suis bête
On n'épouse pas
les chanteurs
C'est vouloir enfermer le vent
C'est épingler un papillon
C'est mettre en cage un lion
On n'épouse pas
les chanteurs
C'est vouloir enfermer le vent
C'est épingler un papillon
C'est mettre en cage un lion
On n'épouse pas
les chanteurs
C'est vouloir enfermer le vent
Ça ne se peut pas vraiment
On n'épouse pas
les chanteurs
C'est vouloir enfermer le vent...
On n'épouse pas
les chanteurs
C'est vouloir enfermer le vent
Ça ne se peut pas vraiment
Tout le monde
dit la même chose
Dans le même langage morose
Tout le monde adore parler de soi
Tout le monde s'embrasse sous les portiques
Tout le monde a soif d'exotisme
Mais tout le monde reste au même endroit
Tout le monde se
ressemble sauf toi
Tu ne fais rien de tout ça
Et ça me fait t'aimer comme personne
Tout le monde se ressemble sauf toi
Tu ne fais rien de tout ça
Et ça me fait t'aimer comme personne
Tout le monde se
connaît un peu
Puis tout le monde s'oublie au milieu
D'une vie sans histoire et sans feu
Tout le monde
ment sans sourciller
Tout le monde emporte ses secrets
Dans la tombe, tout le monde tombe
Tout le monde se
ressemble sauf toi
Tu ne fais rien de tout ça
Et ça me fait t'aimer comme personne
Tout le monde se ressemble sauf toi
Tu ne fais rien de tout ça
Et ça me fait t'aimer comme personne
Toi, tu as ton
style et tes manières
Et t'as toujours l'air d'arriver
D'un long voyage, en mer
Toi, tu as tes
ombres et tes mystères
Tu vas, le cœur en bandoulière
Et moi je veux juste te regarder faire
Tout le monde se
ressemble sauf toi
Tu ne fais rien de tout ça
Et ça me fait t'aimer comme personne
Tout le monde se ressemble sauf toi
Tu ne fais rien de tout ça
Et ça me fait t'aimer comme personne
Ah-ah, ah-ah
Ah-ah, ah-ah
Ah-ah, ah-ah
Ah-ah, ah-ah
Elle respire
l'odeur des corps qui dansent autour d'elle dans l'obscurité
Ils s'effleurent sans timidité
Une insolence chorégraphiée
Elle veut pas s'asseoir, elle
veut s'oublier
Elle veut qu'on la drague, qu'on la regarde et qu'on la fasse tourner
Elle veut pas s'asseoir, ça a trop duré
L'immobilité forcée, ce soir la vie va recommencer
Il faut qu'ça
bouge, il faut qu'ça tremble, il faut qu'ça transpire encore
Dans le bordel des bars le soir
Débraillés dans le noir
Il faudra réapprendre à boire
Il faudra respirer encore
Il faut qu'ça
bouge, il faut qu'ça tremble, il faut qu'ça transpire encore
Dans le bordel des bars le soir
Débraillés dans le noir
Il faudra réapprendre à boire
Il faudra respirer encore
Souvent sa nuque
frôle le dancefloor, on croit qu'elle flanche mais elle s'en sort
Le rythme de son cœur s'aligne aux stroboscopes et bat un peu plus fort
Elle veut pas s'asseoir, elle
veut s'oublier
Elle veut qu'on la drague, qu'on la regarde et qu'on la fasse tourner
Elle veut pas s'asseoir, ça a trop duré
L'immobilité forcée, ce soir la vie va recommencer
Il faut qu'ça
bouge, il faut qu'ça tremble, il faut qu'ça transpire encore
Dans le bordel des bars le soir
Débraillés dans le noir
Il faudra réapprendre à boire
Il faudra respirer encore
Il faut qu'ça
bouge, il faut qu'ça tremble, faut qu'ça transpire encore
Dans le bordel des bars le soir
Débraillés dans le noir
Il faudra réapprendre à boire
Il faudra respirer encore
Allez, respire
encore
Allez, respire encore (allez, allez, allez, allez)
Allez, respire encore (allez, allez, allez)
Allez, respire encore (allez, allez, allez, allez)
Allez, respire encore (allez, allez, allez, allez, allez, allez)
Oh, il faut
qu'ça bouge, il faut qu'ça tremble, il faut qu'ça transpire encore
Dans le bordel des bars le soir
Débraillés dans le noir
Il faudra réapprendre à boire
Il faudra respirer encore
Il faut qu'ça
bouge, il faut qu'ça tremble, faut qu'ça transpire encore
Dans le bordel des bars le soir
Débraillés dans le noir
Il faudra réapprendre à boire
Il faudra respirer encore
Allez, respire
encore
Allez, respire encore
Ah-ah, ah-ah, ah, ah
Ah-ah-ah-ah-ah-ah
Ah-ah, ah-ah, hah
Un peu,
beaucoup, pas du tout
Un peu, beaucoup, pas du tout
Un peu, beaucoup, pas du tout
Un peu, beaucoup, pas du tout
Un peu, beaucoup
Un
Les vraies
passions sont des îlots faits pour deux
Des châteaux au pont-levis toujours levé
Personne ne peut entrer
Une garçonnière privée de chambre d'enfant
Il n'y a pas la place et il n'y a pas le temps
Personne n'est invité
À la folie (à la
folie)
Passionnément (à la folie)
Un peu, beaucoup, pas du tout
Amour toujours mais pas longtemps
À la folie (à la folie)
Passionnément
Un peu, beaucoup, pas du tout
Amour toujours
Qui des deux va
dévorer l'autre le premier?
Car pour ne faire plus qu'un, il faudra laisser
Un peu, un peu de soi quelque part
Qui des deux va dévorer l'autre le premier?
Car pour ne faire plus qu'un, il faudra laisser
Un peu, un peu de soi quelque part
Un bouquet
d'épines reçu les yeux fermés
De l'arsenic dans un flacon d'eau parfumée
C'est un cadeau piégé
Une flèche au cœur, c'est joli dans l'idée
Mais faudrait apprendre à aimer sans saigner
Cupidon est sans pitié
À la folie (à la
folie)
Passionnément
Un peu, beaucoup, pas du tout
Amour toujours mais pas longtemps
À la folie (à la folie)
Passionnément
Un peu, beaucoup, pas du tout
Amour toujours
Qui des deux va
dévorer l'autre le premier?
Car pour ne faire plus qu'un, il faudra laisser
Un peu, un peu de soi quelque part
Qui des deux va dévorer l'autre le premier?
Car pour ne faire plus qu'un, il faudra laisser
Un peu, un peu de soi quelque part
À la folie (à la
folie)
Passionnément (pas du tout)
Un peu, beaucoup, pas du tout
Amour toujours mais pas longtemps
À la folie (à la folie)
Passionnément (pas du tout)
Un peu, beaucoup, pas du tout
Amour toujours
Qui des deux va
dévorer l'autre le premier?
Car pour ne faire plus qu'un, il faudra laisser
Un peu, un peu de soi quelque part
Qui des deux va dévorer l'autre le premier?
Car pour ne faire plus qu'un, il faudra laisser
Un peu, un peu de soi quelque part
À la folie (pas
du tout)
À la folie (pas du tout)
À la folie (pas du tout)
À la (beaucoup, pas du tout)
À la folie (pas du tout)
À la folie (pas du tout)
À la folie (pas du tout)
À la folie (pas du tout)
(Un peu, beaucoup, pas du tout)
J'sais pas faire
Aussi bien qu'les copines
Dans les bars qui se dandinent
Pour pas rentrer toutes seules, non
J'sais pas rouler des r, ni des hanches
Avoir l'air d'être là par hasard, non
J'sais pas faire
J'ai pas c'je ne sais quoi
Dans les cils, dans la voix
Pas de parfum impérieux
Si on s'éprend de moi
Par un hasard heureux
Ce n'est pas pour mes beaux yeux
J'sais pas
plaire
C'est tout un savoir-faire
Faut aimer s'enrober de mystère
J'sais pas faire
J'sais pas plaire
C'est tout un savoir-faire
Faut aimer s'enrober de mystère
J'sais pas faire
J'sais pas plaire
J'sais pas
plaire
Mais un jour il viendra
En aura rien à faire
De l'art et de la manière
Il parlera à mon cœur
Qui n'est pas minaudeur
Et on se comprendra, oui
J'vais lui
plaire
Sans doute qu'il aimera
Ce qui fait que j'suis moi
Un peu gauche et fragile, oui
Il s'émouvra peut-être
De me trouver discrète
Dans le bazar des bars, oui
J'sais pas
plaire
C'est tout un savoir-faire
Faut aimer s'enrober de mystère
J'sais pas faire
J'sais pas plaire
C'est tout un savoir-faire
Faut aimer s'enrober de mystère
J'sais pas faire
J'sais pas plaire
Oh-oh-oh,
oh-oh-oh
Oh-oh-oh
Oh-oh-oh, oh-oh-oh
Oh-oh-oh
J'sais pas
plaire
C'est tout un savoir-faire
Faut aimer s'enrober de mystère
J'sais pas faire
J'sais pas plaire
C'est tout un savoir-faire
Faut aimer s'enrober de mystère
J'sais pas faire
J'sais pas plaire
Sad and slow
Joue-moi quelque chose de beau
De sad and slow
Quelque chose sur ton piano
Sad and slow
Joue-moi quelque chose de beau
De sad and slow
Quelque chose sur ton piano
Une chanson
triste pourrait m'être fatale
Me posséder par le cœur et la peau
Je t'écouterai à l'horizontale
En fixant le blanc parfait des rideaux
Ah, que tes airs recouvrent d'eau
Le désert de mes deux yeux
Que tout indiffère
Au mieux
Sad and slow
Joue-moi quelque chose de beau
De sad and slow
Quelque chose sur ton piano
Sad and slow
Joue-moi quelque chose de beau
De sad and slow
Quelque chose sur ton piano
Poignardé par
quelques accords mineurs
Que tes doigts frapperont comme des marteaux
Ils viendront m'arracher à ma torpeur
Et me faire vibrer jusqu'aux os
Ah, que tes airs recouvrent d'eau
Le désert de mes deux yeux
Que tout indiffère
Au mieux
Sad and slow
Joue-moi quelque chose de beau
De sad and slow
Quelque chose sur ton piano
Sad and slow
Joue-moi quelque chose de beau
De sad and slow
Quelque chose sur ton piano
Sad and slow
Joue-moi quelque chose de beau
De sad and slow
Quelque chose sur ton piano
Sad and slow
Joue-moi quelque chose de beau
De sad and slow
Joue-moi quelque chose de beau
Au bout de la
rue, je te vois
Et je devine déjà
Que tu n'as pas changé
Que vas-tu penser de moi?
Je me suis un peu abîmée
J'ai cherché dans tous les pays
Ce qui se cachait ici
Que je n'avais pas vu
Il m'a fallu revenir
Là où je connais chaque rue
Me revoilà, tout
comme avant mais en adulte
Même si le temps est une brute
Face au cœur il ne fait pas le poids
Me revoilà, tout comme avant mais en adulte
Même si le temps est une brute
Face au cœur il ne fait pas le poids
J'avais des amis
dans cette ville
J'ai eu des amoureux
J'ai oublié leurs noms
J'ai le souvenir indocile
Tout me revient en sensations
Me revoilà, tout
comme avant mais en adulte
Même si le temps est une brute
Face au cœur il ne fait pas le poids
Me revoilà, tout comme avant mais en adulte
Même si le temps est une brute
Face au cœur il ne fait pas le poids
Ce sont des
couleurs, des lumières
Que ma mémoire a bu
Que mon cœur reconnaît
Poser ma main sur la terre
Voir la maison où je suis née
Me revoilà, tout
comme avant mais en adulte
Même si le temps est une brute
Face au cœur il ne fait pas le poids
Me revoilà, tout comme avant mais en adulte
Même si le temps est une brute
Face au cœur il ne fait pas le poids
Me revoilà
Au bout de la
rue, je te vois
Et je devine déjà
Que tu n'as pas changé
Que vas-tu penser de moi?
Je me suis un peu abîmée
Plus personne ne
s'écrit de lettres
Mais je guette à la fenêtre
Pour voir si le facteur s'arrête
Tu connais mon adresse, écris-moi
Je t'aime de ne
pas te connaître
Et si je t'aime peut-être
C'est de t'imaginer
Je t'aime de me manquer, c'est comme ça
Bandit
Tu as braqué mon cœur et ma vie
Et de cambriolages en baisers volés
J'ai appris à céder
Dans mes rêves
tu m'apparais
Sous des formes diverses
Et chaque fois changées
Tu connais ma détresse, reviens-moi
Je t'aime sans
pouvoir te comprendre
Et je te voudrais tendre
Sans pouvoir te parler
Toute une vie à t'attendre, c'est comme ça
Bandit
Tu as braqué mon cœur et ma vie
Et de cambriolages en baisers volés
J'ai appris à céder
Bandit
Tu as braqué mon cœur et ma vie
Et de cambriolages en baisers volés
J'ai appris à t'aimer
Là-bas
Là-bas, où tu es
Penses-tu un peu à moi?
Bandit
Tu as braqué mon cœur et ma vie
Et de cambriolages en baisers volés
J'ai appris à céder
Bandit
Tu as braqué mon cœur et ma vie
Et de cambriolages en baisers volés
J'ai appris à t'aimer
Bandit
Bandit
Là-bas où tu es, penses-tu un peu à moi?
Je n'ai plus de
pain, je n'ai plus de vin
Je n'ai plus que toi, ma vieille
Je n'ai plus que toi
Qui cours à ma voix, la nuit lorsque je m'éveille
Et ma bouche mord, encore et encore
Le lait que tu me portes
Qu'il est doux alors, tandis que tout dort
De boire de la sorte
Je n'ai plus de
feu, je n'ai plus de lieu
Je n'ai plus que toi, ma vieille
Si l'aigle a son nid, l'homme a son logis
Et la chatte sa corbeille
Quand la bise me mord, encore et encore
Dans tes bras tu me couvres
Et là je m'endors, bien mieux qu'au-dehors
Ou le roi dans son Louvre
Je n'ai plus de
foi, je n'ai plus de loi
Je n'ai plus que toi, ma vieille
Une fleur m'a pris
Une aile et je suis prisonnière comme une abeille
Je l'aime et je mords, encore et encore
La fleur de l'amertume
Elle est jaune d'or depuis je ne dors
La fièvre me consume
Je n'ai plus de
fille, je n'ai plus d'ami
Je n'ai plus que toi, ma vieille
Où sont-ils partis, ah dis-le moi, dis
Toi seule, toi qui me veilles
Et pourtant je mords, encore et encore
La main que tu me donnes
Lorsqu'enfin la mort, la berce et l'endort
Seule elle me pardonne
Lorsqu'enfin la
mort
La berce et l'endort
Seule elle me pardonne
C'est un coin
perdu sur l'Atlantique
C'est exotique (c'est exotique)
C'est un coin secret sous les palmiers
C'est fantastique
Je pourrais te
montrer pour y aller c'est très facile
Ferme les yeux et laisse s'entremêler tes cils
Déjà nous y voilà
Bienvenue sur la baie
Ce n'est pas
Paris
Et ce n'est pas Londres
Ce n'est pas Berlin
Ni même Hong-Kong
Pas Tokyo et il fait si chaud
Bienvenue sur la baie
On est si bien
Sur la baie
On est si bien
Sur la baie
Les femmes sont
nues
Les hommes aussi
Rien à se cacher
Rien à se cacher
Et le jus des fruits
Entre leurs doigts
Vient se glisser
Je pourrais te
montrer
Pour y aller c'est très facile
Ferme les yeux et laisse s'entremêler tes cils
Déjà nous y voilà
Bienvenue sur la baie
Ce n'est pas
Paris
Et ce n'est pas Londres
Ce n'est pas Berlin
Ni même Hong-Kong
Pas Tokyo et il fait si chaud
Je t'emmène sur la baie
On est si bien
Sur la baie
On est si bien
Sur la baie
On est si bien
Sur la baie
Ce n'est pas
Paris
Ce n'est pas Londres
Ce n'est pas Berlin
Ce n'est pas Hong-Kong
Pas Tokyo, il fait si chaud
Je t'emmène, je t'emmène sur la baie
Je t'emmène, je t'emmène sur la baie
Sur la baie
Mon syndrome est
unique et contamine l'homme
Dans les mécaniques faut le cardiogramme
J'suis rouillée jusqu'à l'os, faut changer les rouages
Ou jeter à la casse tout mon appareillage
J'ai peur de m'être bousillée à trop donner, à mal aimer
Je me suis perdue
Je me suis perdue
Le mal qui me
ronge est sérieux
Le docteur fera de son mieux
On ne meurt pas d'amour
On ne meurt pas d'amour
On ne meurt pas d'amour
Mais j'appelle au secours
Il faudrait
réparer mais où trouver le courage
De refaire une santé à ce corps, à cette cage
Il y a certains maux dont on ne guérit pas
Qu'on guette sous la peau, on sait qu'ils dorment là
Le mal qui me
ronge est sérieux
Le docteur fera de son mieux
On ne meurt pas d'amour
On ne meurt pas d'amour
On ne meurt pas d'amour
On ne meurt pas d'amour
On ne meurt pas d'amour
On ne meurt pas d'amour
On ne meurt pas d'amour
Mais j'appelle au secours
Non ne dis rien,
Eddy rien de plus
Non ne dis rien de plus
Non ne dis rien, Eddy rien de plus
Non ne dis rien de plus
Quand tous les
mots de la terre
Ne valent pas un soupir
C'est qu'il vaut mieux se taire, Eddy
À croire que ta mère t'a rien appris
Il y a-t-il des filles que ça touche
Ces mots qui sortent de ta bouche
Comme des perles?
Moi je m'en fais des colliers
Que je jette à la mer, Eddy
Non ne dis rien,
Eddy rien de plus
Non ne dis rien de plus
Non ne dis rien, Eddy rien de plus
Non ne dis rien de plus
Les vrais amours
sont muets
Tu aurais dû t'en douter
Tu aurais dû la boucler, Eddy
Sur que j'en serais pas là
À t'étouffer dans les draps
Mais c'est pas l'heure de regretter
Ce qui est fait est fait
Je ne te l'apprends pas
Laisse ta tête d'enfant rouler sur le matelas Eddy
Non ne dis rien,
Eddy rien de plus
Non ne dis rien de plus
Non ne dis rien, Eddy rien de plus
Non ne dis rien de plus
Non ne dis rien,
Eddy rien de plus
Non ne dis rien de plus
Non ne dis rien, Eddy rien de plus
Quand tout fout
le camp
Quand tout est décevant
Quand rien n'est à sa place
Pas même moi
Quand tout me
lasse
Quand tout est dégueulasse
Quand rien ne vaut la peine
Pas même moi
Je pense aux
fleurs
Qui sont parfaites
Qui n'ont pas d'autres rôles que de l'être
Je pense aux fleurs
Et c'est bête
Mais j'envie leurs beautés muettes
Quand les faits
divers
Me donne des insomnies
Que rien ne me guérit
Pas même toi
Quand je cherche
un sens
À ma longue errance
Que rien ne me soulage
Rien ne me séduit
Je pense aux
fleurs
Qui sont parfaites
Qui n'ont pas d'autres rôles que de l'être
Je pense aux fleurs
Et c'est bête
Mais j'envie leurs beautés muettes
Mais j'envie leurs beautés muettes
Quand mon cœur
implose
Quand le noir de mes pensées
M'arrive comme une vague
Prête à m'avaler
Quand je suis
coincée
Dans un corps trop étroit
Que je sens l'univers
Se refermer sur moi
Je pense aux
fleurs
Qui sont parfaites
Mais qui n'ont pas d'autres rôles que de l'être
Je pense aux fleurs
Et c'est bête
Mais j'envie leurs beautés muettes
J'ai deux bras
comme toi
Deux mains au bout des bras
Dix doigts comme toi
Dix doigts comme toi
Et j'ai peur parfois
Oui j'ai peur comme toi
que ça n'suffise pas
J'ai deux jambes comme toi
Deux jambes qui marchent droit
Et j'avance comme toi
Et j'avance comme toi
Si tu marches avec moi
Si tu guides mes pas
On irait loin je crois
J'ai deux yeux comme toi
Je crois ce que je vois
Dans tes yeux je me noie
Dans tes yeux je me noie
J'ai le coeur qu s'égare en attendant que
toi
Qui me ressemble tant, qui ne me comprend pas
J'ai le coeur qu s'égare de
n'attendre que toi
Qui me ressemble tant, qui ne me comprend pas
J'ai un coeur comme toi
Je sais qu'il s'arrêtera
Mais tant qu'il battra
Oui tant qu'il battra
Je n'obéirai pas
à ses fougues à ses lois
J'irai où je veux toi
J'ai le coeur qu s'égare en attendant que
toi
Qui me ressemble tant, qui ne me comprend pas
J'ai le coeur qu s'égare de
n'attendre que toi
Qui me ressemble tant, qui ne me comprend pas
J'ai le coeur qu s'égare de
n'attendre que toi
Qui me ressemble tant, qui ne me comprend pas
Qu'est-ce qu'on
va faire de toi?
Tu marches même pas droit
T'as l'allure de ton père
Les cheveux en arrière
T'as pas l'air, t'as pas l'air, t'as pas l'air d'une femme
D'une femme
Où sont passés
tes seins
Ta cambrure de félin?
Tantôt mère nourricière
Tantôt putain vulgaire
Conduis-toi, conduis-toi, conduis-toi comme une femme
Comme une femme
Comme une femme
Moi j'ai pas l'étoffe, pas les épaules, pas les épaules
Pour être une femme de mon époque
On vit vraiment une drôle d'époque
Tu voudrais voir
en moi
Ta mère et ta sauveuse
Que je porte ma croix
En restant amoureuse
Mais je sais pas, je sais pas, je sais pas être cette
femme
Cette femme
Être cette femme
Moi j'ai pas l'étoffe, pas les épaules, pas les épaules
Pour être une femme de mon époque
On vit vraiment une drôle d'époque
Moi j'ai pas l'étoffe, pas les épaules, pas les épaules
Pour être une femme de mon époque
On vit vraiment une drôle d'époque
Moi j'ai pas l'étoffe, pas les épaules, pas les épaules
Pour être une femme de mon époque
On vit vraiment une drôle d'époque
C'est comme si
j'étais devenue un monstre d'amour
Mes jambes flanchent, mon cœur est lourd
Je finirai par m'étouffer dans tout ce velours
J'ai beau hurler, mes cris sont sourds
Dis-moi, dis-moi
pourquoi je sombre
Dans des eaux, dans des ombres
Dans lesquelles je me noie
Dis-moi quelle
est cette colère
Qui me tord, qui m'atterre
Que je ne connais pas
C'est comme si
j'étais transformée en monstre d'amour
Et j'ai perdu famille et bravoure
Mes yeux ont appris par cœur tes formes et tes contours
Et les devinent quand s'éteint le jour
Dis-moi, dis-moi
pourquoi je sombre
Dans des eaux, dans des ombres
Dans lesquelles je me noie
Dis-moi quelle
est cette colère
Qui me tord, qui m'atterre
Que je ne connais pas
Dis-moi quelle
est cette colère
Qui me tord, qui m'atterre
Que je ne connais pas
C'est comme si
j'étais devenue un monstre d'amour
Mes jambes flanchent, mon cœur est lourd
Prends une photo
de moi
Photocopie-la trois fois
Encadre-la au-dessus de ton piano droit
Entre tes parents et un certificat
C'est la
dernière fois que tu me vois
C'est la dernière fois que tu me vois
C'est la dernière fois que tu me vois
C'est la dernière fois que tu me vois
Garde un
souvenir précis
Du son de ma voix
Et de nos insomnies
Respire
Mon parfum à même mon cou
Souviens-toi de ma bouche
Souviens-toi de mon goût
C'est la
dernière fois que tu me vois
C'est la dernière fois que tu me vois
C'est la dernière fois que tu me vois
C'est la dernière fois que tu me vois
Tu peux partir
maintenant
Tout est sauvegardé
Ton cœur a ses archives comme il a ses secrets
C'est la
dernière fois que tu me vois
C'est la dernière fois que tu me vois
C'est la dernière fois que tu me vois
C'est la dernière fois que tu me vois
C'est la dernière fois que tu me vois
J'ai gravé sur
mon cœur
Ton nom et des fleurs
Pour que tu sois ici en ta demeure
Tu seras mieux là qu'ailleurs
Dors, dors
Il n'y a rien à voir ici, rien à regretter
Dors, dors
Je viendrais bientôt auprès de toi me coucher
Dors, dors
Il n'y a rien à voir ici, rien à regretter
Dors, dors
Je viendrais bientôt auprès de toi me coucher
J'ai dessiné, tu
sais
Un arbre, une forêt
Pour qu'à l'ombre des cyprès
Tu puisses reposer
Dors, dors
Il n'y a rien à voir ici, rien à regretter
Dors, dors
Je viendrais bientôt auprès de toi me coucher
Dors, dors
Il n'y a rien à voir ici, rien à regretter
Dors, dors
Je viendrais bientôt auprès de toi me coucher
Dors, dors
Il n'y a rien à voir ici, rien à regretter
Dors, dors
Je viendrais bientôt auprès de toi me coucher
Dors, dors
Il n'y a rien à voir ici, rien à regretter
Dors, dors
Je viendrais bientôt auprès de toi me coucher
Dors
Je suis nue
devant le miroir
Mes épaules sont larges et mon corps est robuste
Jeune encore
Mes yeux s'attardent sur mes hanches
Sur mon ventre tendu
Puis fixent ma poitrine, presque plate
Sur mon sein gauche, une cicatrice
Parce qu'elle
est encore violacée
Parce qu'on discerne le tissu tout juste reconstitué, de la chair tiraillée
Parce que sous le doigt ce relief se détache, encore gonflé
On devine que la blessure est récente
Elle palpite, comme un nerf
Pourtant quand le doigt passe sur la plaie, elle n'est déjà plus douloureuse
On ne meurt pas
d'amour
Alors même que l'on se croit exempt, et sec, comme un vieux fruit
Alors même que l'on croit que toutes les forces nous ont quittées
On se remet de tout
Le coeur se régénère, comme la queue des lézards
On est allongé
sur le dos, prêt à se laisser partir
Quand soudain, un soubresaut électrise le corps
Le sang reprend son travail, revient battre contre les tempes
Irriguer les organes, et le bas-ventre endormi
On sursaute de se sentir vivant
Vivant malgré tout
On est surpris de reprendre des couleurs
L'envie de vivre est irrésistible
Se remettre de
ce chagrin
Se remettre de cette douleur
C'est pouvoir tout affronter
Tu m'as permis de comprendre que j'étais invincible
Victorieuse, quelle que soit l'issue
Je suis armée jusqu'aux dents
Sous mon sein, une grenade
Je rêve, pince
moi pour voir
J'avoue j'ai du mal, j'ai du mal à le croire
C'est moi qui chantais ce soir
Est-ce que c'est moi qui, vraiment moi qui chantais
Suis-je plus laide ou plus belle
Que sur la photo de mon disque orange?
Suis-je seulement celle
Celle dont j'ai l'air?
Souvent je change
Regarde, allez,
regarde-moi, tu vois
J'ai enlevé mes bijoux
Démaquillé le noir à mes yeux
Oté le rose à mes joues
Et je viens nue vers toi
O-o-oté le rose à mes joues
Et je viens nue vers toi
O-o-oté le rose à mes joues
Et je viens nue vers toi
En pleureuse
italienne
Ou en bon petit, en bon petit soldat
Comment tu me préfères?
En héroïne ou, ou en blessée de guerre
Cette vie que j'habite
Parfois me dépasse, parfois est trop petite
Peur que ma chance me quitte
Je cours partout, je m'ennuie vite
Regarde, allez,
regarde-moi, tu vois
J'ai enlevé mes bijoux
Démaquillé le noir à mes yeux
Oté le rose à mes joues
Et je viens nue vers toi
O-o-oté le rose à mes joues
Et je viens nue vers toi
O-o-oté le rose à mes joues
Et je viens nue vers toi
Regarde, allez,
regarde-moi, tu vois
J'ai enlevé mes bijoux
Démaquillé le noir à mes yeux
O-o-oté le rose à mes joues
Et je viens nue vers toi
O-o-oté le rose à mes joues
Et je viens nue vers toi
Mon drame c'est
mon ombre
Une ombre, une géante voilée
Qui grimpe et qui pousse
Le long de mon corps
Comme du mauvais lierre
Comme un mauvais sort
Mon drame c'est
mon ombre
Elle, c'est le diable
Qui l'a cousue à mes pieds
Mon drame c'est mon ombre
Était-ce le diable
Le jour où je suis née?
Mon drame c'est
mon ombre
Une ombre profonde comme la nuit
Qui gronde et ronronne
Quand je lui donne ma peur d'être seule
Ma peur d'échouer
Mon drame c'est
mon ombre
Elle, c'est le diable
Qui l'a cousue à mes pieds
Mon drame c'est mon ombre
Était-ce le diable
Le jour où je suis née?
Mon drame c'est
mon ombre
Une ombre tentaculaire, spectaculaire
Qui crache son encre épaisse et rance
Sur ce qui restait de mes espérances
Mon drame c'est
mon ombre
Elle, c'est le diable
Qui l'a cousue à mes pieds
Mon drame c'est mon ombre
Était-ce le diable
Le jour où je suis née?
Mon drame c'est
mon ombre
Mon drame c'est mon ombre
Je ne sais pas
si je suis encore vivante
Sinon quelle est cette douleur qui me hante
Mon corps se balancent au-dessus d'une mer immense
Mais je m'accroche à vous
Il ne me reste plus que quelques souvenirs d'enfance
Qui déjà deviennent flous
Je n'ai ni chaud
ni froid
Et je m'ennuie beaucoup
J'arrive attendez moi
Je viens même à genoux
Tes paupières
bleues sous mes doigts se dessinent
C'est ton cou que je tords, c'est moi que j'assassine
Notre amour n'était rien qu'un léger malentendu
Qu'on a pris au sérieux
Fallait-il en arriver là, j'ai toujours eu pour nous
Des projets plus heureux
Je n'ai ni chaud
ni froid
Et je m'ennuie beaucoup
J'arrive attendez moi
Je viens même à genoux
Je n'ai ni chaud
ni froid
Et je m'ennuie beaucoup
J'arrive attendez moi
Je viens même à genoux
Je ne sais pas
si je suis encore vivante
Sinon pourquoi faudrait il
que je chante
Contre toi, un
autre corps qui dort
Fous là dehors, t'entends?
Je préviens, je reviens dès demain au matin
Allô, allô,
c'est moi
Décroche, déconne pas
Allô, allô, c'est moi
Décroche, déconne pas
Allô, allô, c'est moi
Décroche, déconne pas
Allô, allô c'est moi
Décroche, déconne pas
Comment ça, quel
signal sonore?
Ce bip écume tue, tu sais?
Ton absence est partout
Et parfois je te sens
Et souvent, je te vois
Allô, allô,
c'est moi
Décroche, déconne pas
Allô, allô, c'est moi
Décroche, déconne pas
Allô, allô, c'est moi
Décroche, déconne pas
Allô, allô, c'est moi
Décroche, déconne pas
Des heures et
des heures
À parler sur ton répondeur
Je ne sais même pas si tu m'écouteras
Ah enfin, te
voilà
Si j'ai bu, si
peu, si peu
J'y crois, comme avant mais en mieux
On pourrait être heureux, est-ce que t'es encore là?
Allô, allô,
c'est moi
Allô, allô c'est
moi
Décroche, déconne pas
Allô, allô, c'est moi
Décroche, décroche (déconne pas)
Allô, allô, c'est moi (c'est moi)
Décroche (décroche), déconne pas (décroche)
Allô, allô, c'est moi
Décroche, décroche
Déconne pas
Dans ses yeux
malheureux
Rien ne se reflète
Le khôl a coulé sous la paupière bleue
Et sa robe est défaite
Emmanuelle s'est
endormie sur les coups de quatre heure et demie
Emmanuelle s'est endormie sur les coups de quatre heure et demie
Au fond de son
verre
Des cauchemars crachés
Des souvenirs amers
Qu'elle avale de travers
Sans se faire prier
Emmanuelle s'est
endormie sur les coups de quatre heure et demie
Emmanuelle s'est endormie sur les coups de quatre heure et demie
Des bouches sans
visages
Des visages sans nom
Lui apparaissent en flash
Comme c'était sauvage et comme c'était bon
Emmanuelle s'est
endormie sur les coups de quatre heure et demie
Emmanuelle s'est endormie sur les coups de quatre heure et demie
Emmanuelle s'est endormie sur les coups de quatre heure et demie
Emmanuelle s'est endormie sur les coups de quatre heure et demie
Emmanuelle s'est
endormie
Cette chanson ne
parle surtout pas d'amour
Pas d'amour, pas d'amour, pas d'amour
Cette chanson ne parle surtout pas d'amour
Pas d'amour, pas d'amour, pas d'amour
J'ai tout oublié, j'ai tout oublié
À l'horizon de
moi, quelques brulures
Et dans le miroir parfois, ma belle imposture
Je souffre encore
Mais je me tais
Cette chanson
n'évoquera pas les beaux jours
Les beaux jours, les beaux jours, les beaux jours
Cette chanson n'évoquera pas les beaux jours
Les beaux jours, les beaux jours, les beaux jours
J'y ai renoncé, j'y ai renoncé
À l'horizon de
moi, quelques brulures
Et dans le miroir parfois, ma belle imposture
Je souffre encore
Mais je me tais
Cette chanson je
l'aurais chantée à genou
À genou, à genou, à genou
Cette chanson je l'aurais chantée à genou
À genou, à genou, à genou
Si tu l'avais voulu, si tu l'avais voulu
À l'horizon de
moi, quelques brulures
Et dans le miroir parfois, ma belle imposture
Je souffre encore
Mais je me tais
À l'horizon de
moi, quelques brulures
Et dans le miroir parfois, ma belle imposture
Je souffre encore
Mais je me tais
Je me tais
Je me tais
Vladimir
Cauchemar
Je ne sais rien
de lui, et pourtant je le vois
Son nom m'est familier, et je connais sa voix
Souvent dans mon sommeil, je croise son visage
Son regard et l'amour ne font plus qu'une image
Il a cette
beauté des hommes romantiques
Du divin Raphaël le talent imité
Une philosophie d'esprit démocratique
Et du poète enfin la rime illimitée
Je pourrais te
parler de ses yeux, de ses mains
Je pourrais te parler de lui jusqu'à demain
Son amour, c'est ma vie, mais à quoi bon rêver?
L'illusion de l'amour n'est pas l'amour trouvé
Est-il près,
est-il loin, est-il à Rochefort?
Je le rencontrerai car je sais qu'il existe
Bien plus que la raison, le cœur est le plus fort
A son ordre, à sa loi, personne ne résiste
Je n'y résisterai pas
Je suis la
pleureuse italienne
Recroquevillée sous le chêne
D'un cimetière imaginaire où l'on enterre guère que de
l'air
Oh, pourvu qu'une guerre explose
Pourvu qu'un tyran s'interpose
J'aime tant pleurer avec mes frères, oui c'est très beau de les voir faire
Pleure Clara,
pleure
Pleure Clara, pleure
Qu'on me donne
un soldat à attendre
Une raison pour mon coeur tendre
De se confondre en sentiments, c'est ainsi qu'il se sent vivant
Ma main gantée tient le mouchoir
Tout mouillé de mon désespoir
C'est moi assise devant tout l'monde, comme la nuit qui vient est sombre
Pleure Clara,
pleure
Pleure Clara, pleure
Pleure Clara,
pleure
Pleure Clara, pleure
Pleure Clara,
pleure
Pleure Clara, pleure
Pleure Clara,
pleure
Pleure Clara, pleure
Pleure Clara,
pleure
Clara
Ha, il ne reste
que moi
Que l'écho de ma voix
Ho, ha
A vous dire la vérité
Ce n'est pas ce qui m'effraie
Je suis seule
A crever
Vois ce qu'il a
fait de moi
Je n'me ressemble pas
Ha, ha
Qu'on balance
les restes au feu
J'ai en horreur les adieux
Je suis triste
A crever.
Là étendue dans
le froid
D'un été qui n'vient pas
Ha, ha
Je redeviens une
enfant
Assassinée par les grands
Je suis folle
A crever
Moi, Quand J'me Sens Touchée, Coulee,
Perdue
Je Me Roule En Boule Et J'entends Plus
Les Mots qu'on M'envoie Au Lance-pierres
Faux, Quand Je Dis Que Je M'en Fous Je Mens
C'est Qu'il Ne Me Quitte Jamais Vraiment
Ces gens Qui Me Regardent De Travers
Aïe, Pourquoi Faudrait Qu'on Se Fasse Du Mal
Viens, Plus Près Que je Te Soigne
Aïe, Pourquoi Faudrait Qu'on Se Fasse Du mal
Mêle, Ta Vie À Ma Vie
On Pourrait Se tenir Chaud
Se Lisser Les Plumes Et Se Trouver Beaux
Clara2
Hjärta |
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Resten |
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Sångaren |
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Alla (utom du) |
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Andas mer |
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Alltid kärlek |
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Jag kan inte behaga |
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Sad & Slow |
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Platsen |
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Bandit |
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Hej då |
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Sång för min gamla |
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Granaten |
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Bukten |
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Man dör inte av kärlek |
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Eddy |
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Blommorna |
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Som du |
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Lustig tid |
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Kärleksmonster |
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Den sista/senaste gången |
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Sov ! |
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Heliga Segern |
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Naken |
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Min skugga |
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Vad snygg du är ! |
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Bovary |
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Min syster |
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Hallå |
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Emmanuelle |
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Denna sång |
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Delphines sång |
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Gråt Clara, gråt ! |
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Att dö, brista |
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Vackra |
vidéos Clara Luciani
Clara |
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Clara3
Hjärta |
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Resten |
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Sångaren |
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Alla (utom du) |
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Andas mer |
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Alltid kärlek |
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Jag kan inte behaga |
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Bandit |
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Hej då |
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Granaten |
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Bukten |
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Man dör inte av kärlek |
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Eddy |
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Blommorna |
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Som du |
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Lustig tid |
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Kärleksmonster |
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Den sista/senaste gången |
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Sov ! |
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Heliga Segern |
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Naken |
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Min skugga |
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Vad snygg du är ! |
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Bovary |
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Min syster |
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Hallå |
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Emmanuelle |
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Denna sång |
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Delphines sång |
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Gråt Clara, gråt ! |
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Att dö, brista |
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Vackra |
vidéos Clara Luciani
Clara |
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